Retraite a l ‘étranger, Quelle fiscalités sur les pensions ? Selon le pays choisi, les retraités qui s’installent à l’étranger peuvent bénéficier d’un cadre fiscal particulièrement avantageux. Explications... Passer sa retraite à l’étranger. Beaucoup de Français y songent. Recherche d’un climat plus clément, volonté de maximiser son niveau de vie, envie de revenir dans son pays d’origine... Les motivations peuvent être très variées. Pour certains, le cadre fiscal peut aussi être un atout supplémentaire. Le rapport parlementaire sur « l’exil des forces vives de France » vient d’ailleurs de faire le point sur la manière dont sont traités fiscalement les retraités expatriés. Principe de versement de la pension Le bénéficiaire d’une pension de retraite peut la percevoir quel que soit son pays de résidence, sauf en cas d’embargo ou de guerre, rappelle le rapport. Il est donc possible de toucher une pension française en s’installant à l’étranger. Une condition est toutefois à respecter : le bénéficiaire doit fournir chaque année un certificat de vie délivré par l’autorité du pays de résidence compétente en matière d’état civil. L’Aspa est en revanche réservée aux seuls résidents français. Prélèvements sociaux Le cadre est ici très avantageux. Les retraités basés à l’étranger ne sont pas soumis à la CSG (jusqu’à 6,6% pour les retraités domiciliés en France), ni à la CRDS (0,5% pour les résidents français). Les retraités installés à l’étranger échappent aussi à la Casa, la contribution de solidarité pour l’autonomie instauré en 2013 et dont le taux s’élève à 0,3%. Assurance-maladie Pour les retraités habitant dans l’UE ou en Suisse, la règle est simple. Une cotisation est prélevée à la source sur la retraite française (3,2% sur la pension de base, 4,2% sur les complémentaires et 7,1% pour les régimes des travailleurs indépendants). Les retraités bénéficient alors d’un rattachement au régime de leur pays de résidence (du fait de conventions) et peuvent aussi revenir en France pour se faire soigner. Dans les autres pays, les retraités peuvent s’assurer via un régime privé ou opter pour la CFE (la Caisse des français de l’étranger) afin d’avoir une couverture dans leur pays de résidence. La cotisation à la CFE est de 4,2% (afin un forfait de 222 euros au minimum par trimestre). Impôts Le principe général veut que les pensions françaises perçues à l’étranger soient imposées en France via une retenue à la source selon trois tranches (0%, 12% et 20%). Toutefois, du fait des nombreuses conventions signées par la France, cette règle s’applique rarement. En cas de convention (cas le plus fréquent), il convient alors de distinguer les pensions issues d’un emploi dans le secteur privé et dans le secteur public. Si les règles fluctuent d’un pays à l’autre, les pensions du service public restent le plus souvent imposées en France alors que les pensions liées à un emploi dans le privé sont à de rares exceptions près imposées dans le pays d’installation. Pays les plus attractifsLe rapport donne enfin certains exemples de pays ayant mis en place des mesures fiscales destinées à attirer les retraités étrangers. Le Maroc offre à vie un abattement de 80% sur l’imposition des pensions étrangères (taux maximal de 38%). Depuis 2007, la Tunisie offre aussi un abattement de 80% sur l’impôt dû au titre des pensions privées et publiques (taux maximal de 35%). Le Sénégal s’est aligné sur ces mesures en proposant de la même manière un abattement de 80%. Quant au Portugal, il va encore plus loin puisqu’il accorde désormais une exonération totale aux pensions de sources étrangères. StatistiquesLe rapport évalue à plus de 1,6 million le nombre de bénéficiaires de pensions installés à l’étranger (fin 2012). Un chiffre en hausse de 53% par rapport à 1998. Difficile en revanche de savoir quelle est l’influence de la fiscalité au sein de ces chiffres. Lire l'article complet suite sur : Argent-Boursier Retraite en Espagne Votre achat en Espagne Aqui Immobilier Espagne Information : Achat immobilier en Espagne. .
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Succès pour la première édition du Salon de l’Immobilier Espagnol à Paris (SITEP) La COCEF, le CIC Iberbanco et Expo 21 ont réussi leur pari. Près de 4.500 visiteurs sont venus visiter ce weekend end le premier Salon de l’Immobilier Espagnol tenu à la Porte de Versailles, et d’après les exposants présents, le public savait ce qu’il cherchait, était de qualité et les contacts étaient donc nombreux. Le financement encourage les investissements « C’est le moment d’investir en Espagne », on ne le répète jamais assez depuis le début de l’année. Depuis la fin de la crise il y a 12 mois, le regain d’intérêt pour le stock immobilier espagnol ne cesse de croître. La reprise économique du pays, la stabilité financière, mais aussi le développement des infrastructures avec la France, sont autant de facteurs qui poussent les français à venir acheter en Espagne. Les français représentent aujourd’hui, d’après l’Ordre des Notaires Espagnols, les deuxièmes acquéreurs étrangers en Espagne. Selon les chiffres interannuels, ils auraient augmenté de 30% depuis un an et s’intéressent principalement à une résidence secondaire en bord de mer. Le public français bénéficie aussi de la forte présence des entités financières françaises en Espagne. En effet, des banques telles que le CIC Iberbanco, sise à Paris, ou Targo Bank, sise à Madrid (deux filiales du groupe Crédit Mutuel) peuvent faciliter a l’acquisition d’un bien en Espagne aux français résidant en France, soit en hypothéquant ce même bien (avec un financement qui peut aller jusqu’à 80%), soit en hypothéquant un bien en France. SITEP, première édition qui ne sera pas la dernière
Durant 3 jours, plus de 40 exposants venant de toutes les régions d’Espagne sont venus proposer leurs promotions immobilières. Il s’agissait de promoteurs immobiliers et également d’agents ayant pignon sur rue. Certaines entités proposaient des appartements 2 pièces à partir 60.000 euros, d’autres, des stocks appartenant aux banques faisant l’objet de liquidations judiciaires (ce qui d’ailleurs, intéressait beaucoup certains visiteurs, car en France le concept de « maison de banque » n’est pas aussi diffusé qu’en Espagne). Ayant un stand sur place, Le Courrier d’Espagne a pu rencontrer une grande majorité des exposants. Et le bilan est clair pour tout le monde, comme le disait l’un deux : « Nous avons eu pendant 3 jours un public de qualité, qui savait exactement ce qu’il voulait, nous avons fait plus de 50 contacts, j’espère que les organisateurs renouvelleront cette opération, nous reviendrons ! ». Source : http://lecourrier.es/succes-pour-la-premiere-edition-du-salon-de-limmobilier-espagnol-a-paris-sitep/ Record touristique en Espagne pour 2014 |
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Ma retraite en Espagne
( des Retraités s'expriment….) Témoignage:
Climat doux en hiver, soleil assuré en été, l’Espagne est l’un des pays qui attire le plus de retraités.
Sur la Costa Blanca, c’est une véritable communauté de retraités francophones : Français, Belges, Suisses qui s’est installée.
Parmi eux, Claude et Michel ont fait le déplacement il y a trois ans ; un choix qu’ils ne regrettent pour rien au monde. Ils nous livrent un bout de leur quotidien ainsi que quelques conseils pour ceux qui seraient tentés par le pays des toreros.
Un climat idéal Tempéré en hiver, pas trop chaud en été, le climat sur la Costa Blanca a des allures de météo idéale.
« C’est la première chose qui nous a poussés à partir », raconte Claude, installée en Espagne depuis deux ans. « Mes parents y allaient très régulièrement quand j’étais jeune. Dès que j’ai été retraitée, nous avons décidé avec mon mari de quitter la France pour un petit village au bord de la mer. »
Claude et son mari Michel ne sont pas les seuls Francophones à avoir craqué pour les contrées espagnoles. « Sur la Costa Blanca, nous sommes environ 7.000 à 12.000 francophones. Certains sont installés définitivement, comme nous, mais une bonne partie ne reste que sept mois. Ils arrivent en octobre et repartent en avril, pour profiter de l’hiver très doux. »
Les avantages administratifs . D’un point de vue administratif, le passage de la France à l’Espagne n’est pas trop compliqué. « Ce n’est pas plus difficile que de changer de commune ! », assure Claude. Première étape : la vente de votre logement en France. Une fois sur place, vous devrez vous rendre au consulat de France pour vous y inscrire ; vous deviendrez alors officiellement résidant espagnol.
Bonne nouvelle : les impôts sont moins élevés en Espagne qu’en France. « C’est un peu plus avantageux, mais ça ne doit pas être une raison pour quitter la France ! » conseille Claude.
Globalement, les prix sont un peu moins chers en Espagne. « Les petits restaurants et les fruits et légumes sont plus abordables. on mange pour des menus à 7 à 12 euros avec (entrée, plat et dessert, vin , eau et parfois café compris )
Par contre, les produits laitiers sont plus chers », explique Rita.
Les soins de santé , vous bénéficiez du statut espagnol. « Sur place, il y a deux possibilités. Soit vous optez pour le système public, qui est entièrement gratuit, mais qui ne vous donne pas le choix de votre médecin ( et les listes d’attente sont longues). Autre possibilité : l’assurance privée. C’est ce que je conseille aux Français qui arrivent. On a le choix du médecin et on bénéficie automatiquement d’un interprète dans les hôpitaux. Les médicaments restent entièrement gratuits. »
Se loger Claude et Michel ont acheté lorsqu’ils sont arrivés sur la Costa Blanca. « Ça n’a pas été très compliqué. C’est comme partout, il faut être sûr de l’agence immobilière avec laquelle on traite. »
Côté coûts, notre retraitée de 64 ans reconnaît que les prix sont assez élevés sur la côte. « Mieux vaut s’installer dans un petit village à quelques kilomètres de la mer, c’est bien moins cher. »
Et si vous n’avez pas envie d’acheter, la location est toujours possible. Elle est pratiquée par grand nombre d’expatriés.
Le rythme espagnol Après trois ans de vie en Espagne, Claude et Michel ont appris à vivre au rythme du pays. « On mange à 14 h et à 21h. Il faut s’adapter à leur mentalité aussi, les choses vont moins vite par exemple . on est plus serein, plus Zen… Mais moi je vois ça comme le charme local », sourit .
Le couple parle aujourd’hui espagnol presque couramment. « Moi je me débrouillais déjà avant de partir, mais mon mari a pris des cours ici. C’était gratuit et il a progressé très rapidement. »
Le couple s’est recréé un réseau social dans le pays. « Nous avons de bonnes relations avec des Espagnols, mais surtout beaucoup de contacts avec des Francophones retraités et eux aussi expatriés. »
Garder des liens avec la France, Claude le garantit : « Les grands-parents ici voient plus leurs petits-enfants que s’ils étaient en France ! » Grâce aux compagnies low cost, les trajets entre la France et l’Espagne sont rapides et très peu coûteux.
Pour le téléphone, le couple utilise beaucoup Internet. Mais il existe des abonnements téléphoniques (comme Europa : vous payez 5 euros par mois pour 15 minutes par jour).
Les conseils de Claude Si vous souhaitez vous installer définitivement en Espagne, ne vous précipitez pas. Passez d’abord quelques mois sur place pour apprendre à connaître la région et la culture.
Si vous avez l’intention d’acheter un logement , faites appel à une agence sérieuse, passez par un notaire et vérifiez que tout est bien en ordre.
L’Espagne, c’est 85% d’avantages : « Je n’ai jamais rencontré quelqu’un qui est reparti en France par la suite ! »
Aqui Immobilier Espagne - Votre achat en Espagne Information : Achat immobilier en Espagne
Retraite en Espagne
Et vous comment vivez vous votre retraite ?
( des Retraités s'expriment….) Témoignage:
Climat doux en hiver, soleil assuré en été, l’Espagne est l’un des pays qui attire le plus de retraités.
Sur la Costa Blanca, c’est une véritable communauté de retraités francophones : Français, Belges, Suisses qui s’est installée.
Parmi eux, Claude et Michel ont fait le déplacement il y a trois ans ; un choix qu’ils ne regrettent pour rien au monde. Ils nous livrent un bout de leur quotidien ainsi que quelques conseils pour ceux qui seraient tentés par le pays des toreros.
Un climat idéal Tempéré en hiver, pas trop chaud en été, le climat sur la Costa Blanca a des allures de météo idéale.
« C’est la première chose qui nous a poussés à partir », raconte Claude, installée en Espagne depuis deux ans. « Mes parents y allaient très régulièrement quand j’étais jeune. Dès que j’ai été retraitée, nous avons décidé avec mon mari de quitter la France pour un petit village au bord de la mer. »
Claude et son mari Michel ne sont pas les seuls Francophones à avoir craqué pour les contrées espagnoles. « Sur la Costa Blanca, nous sommes environ 7.000 à 12.000 francophones. Certains sont installés définitivement, comme nous, mais une bonne partie ne reste que sept mois. Ils arrivent en octobre et repartent en avril, pour profiter de l’hiver très doux. »
Les avantages administratifs . D’un point de vue administratif, le passage de la France à l’Espagne n’est pas trop compliqué. « Ce n’est pas plus difficile que de changer de commune ! », assure Claude. Première étape : la vente de votre logement en France. Une fois sur place, vous devrez vous rendre au consulat de France pour vous y inscrire ; vous deviendrez alors officiellement résidant espagnol.
Bonne nouvelle : les impôts sont moins élevés en Espagne qu’en France. « C’est un peu plus avantageux, mais ça ne doit pas être une raison pour quitter la France ! » conseille Claude.
Globalement, les prix sont un peu moins chers en Espagne. « Les petits restaurants et les fruits et légumes sont plus abordables. on mange pour des menus à 7 à 12 euros avec (entrée, plat et dessert, vin , eau et parfois café compris )
Par contre, les produits laitiers sont plus chers », explique Rita.
Les soins de santé , vous bénéficiez du statut espagnol. « Sur place, il y a deux possibilités. Soit vous optez pour le système public, qui est entièrement gratuit, mais qui ne vous donne pas le choix de votre médecin ( et les listes d’attente sont longues). Autre possibilité : l’assurance privée. C’est ce que je conseille aux Français qui arrivent. On a le choix du médecin et on bénéficie automatiquement d’un interprète dans les hôpitaux. Les médicaments restent entièrement gratuits. »
Se loger Claude et Michel ont acheté lorsqu’ils sont arrivés sur la Costa Blanca. « Ça n’a pas été très compliqué. C’est comme partout, il faut être sûr de l’agence immobilière avec laquelle on traite. »
Côté coûts, notre retraitée de 64 ans reconnaît que les prix sont assez élevés sur la côte. « Mieux vaut s’installer dans un petit village à quelques kilomètres de la mer, c’est bien moins cher. »
Et si vous n’avez pas envie d’acheter, la location est toujours possible. Elle est pratiquée par grand nombre d’expatriés.
Le rythme espagnol Après trois ans de vie en Espagne, Claude et Michel ont appris à vivre au rythme du pays. « On mange à 14 h et à 21h. Il faut s’adapter à leur mentalité aussi, les choses vont moins vite par exemple . on est plus serein, plus Zen… Mais moi je vois ça comme le charme local », sourit .
Le couple parle aujourd’hui espagnol presque couramment. « Moi je me débrouillais déjà avant de partir, mais mon mari a pris des cours ici. C’était gratuit et il a progressé très rapidement. »
Le couple s’est recréé un réseau social dans le pays. « Nous avons de bonnes relations avec des Espagnols, mais surtout beaucoup de contacts avec des Francophones retraités et eux aussi expatriés. »
Garder des liens avec la France, Claude le garantit : « Les grands-parents ici voient plus leurs petits-enfants que s’ils étaient en France ! » Grâce aux compagnies low cost, les trajets entre la France et l’Espagne sont rapides et très peu coûteux.
Pour le téléphone, le couple utilise beaucoup Internet. Mais il existe des abonnements téléphoniques (comme Europa : vous payez 5 euros par mois pour 15 minutes par jour).
Les conseils de Claude Si vous souhaitez vous installer définitivement en Espagne, ne vous précipitez pas. Passez d’abord quelques mois sur place pour apprendre à connaître la région et la culture.
Si vous avez l’intention d’acheter un logement , faites appel à une agence sérieuse, passez par un notaire et vérifiez que tout est bien en ordre.
L’Espagne, c’est 85% d’avantages : « Je n’ai jamais rencontré quelqu’un qui est reparti en France par la suite ! »
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